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Relations sexuelles hors mariage: Les Marocains contre!

Posté par Sophia le 2020-02-17
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A la question «Pensez-vous que deux adultes consentants ont le droit d’avoir des relations sexuelles hors mariage?», l’enquête L’Economiste Sunergia apporte une réponse qui a de quoi refroidir les défenseurs des libertés individuelles… En effet, c’est un non catégorique pour pas moins de 88% des répondants! D’autant plus que, parmi ce groupe, 9% seulement avancent un argumentaire religieux. Un résultat qui a déçu bon nombre de nos lecteurs. (cf. notre édition du 05/02/2020)   

■ La moitié des Marocains bipolaires…
Cette étude aurait dû tenir compte du fait qu’un marocain sur deux est bipolaire. Un chiffre officiel du ministère de la santé ! Par ailleurs, il aurait fallu poser une question supplémentaire qui aurait permis d’effectuer une seconde lecture sur le sujet: «Avez-vous déjà eu au moins une fois dans votre vie une relation sexuelle hors mariage?».
O.P.

■ La réalité est tout autre!
Cette étude ne doit pas être prise en considération à la lettre, de par la nature sensible des questions posées et la peur des répondants des répercussions judiciaires. En réalité, 50% des Marocains acceptent les relations sexuelles consensuelles hors mariage. Ils en abusent même de manière irresponsable, causant avortements et abandons d’enfants à la pelle…Il faudrait réaliser une étude complète sur la vie sexuelle sous nos latitudes, comme cela s’est déjà fait aux Etats-Unis!
N.C.

■ Des résultats biaisés par peur d’être jugés!
Ces jeunes qui ont répondu aux questions de l’enquête n’ont pas été honnêtes et transparents au moment où ils ont été interrogés. Ils ont eu peur d’être jugés et poursuivis en justice, ce qui a totalement biaisé les résultats obtenus. C’est bien dommage tout cet analphabétisme sexuel…
G.P.

                                                                                 

Corruption: Une pointure de l’Agence urbaine de Marrakech prend cher!

Double peine pour l’ex-directeur de l’Agence urbaine de Marrakech Khalid Ouaya!  Poursuivi pour avoir exigé un pot-de-vin à un promoteur en juillet dernier en contrepartie de l’accélération des procédures liées à une autorisation administrative, ce dernier vient d’écoper d’une peine de 10 ans de prison ferme ainsi que d’une amende d’un million de DH. Une nouvelle qui a réjoui bon nombre de nos lecteurs… (cf. notre édition du 06 /02 /2020)    
 
■ L’unique moyen de freiner ces corrompus du système!
Mille bravos à ces juges incorruptibles et intègres! Les peines doivent être sévères et servir d’exemple! C’est l’unique moyen d’arrêter ces corrompus sans scrupules ni pudeur…
F.L.

■ Payer leurs frais de séjour en prison!
En plus des peines en question, ce malfrat, sa femme et l’architecte auraient dû être condamnés à payer l’intégralité de leurs frais de séjour en prison. Ce qui revient à un minimum de 100 DH  par jour, incluant nourriture, eau, électricité, logement et gardiennage! De plus, ces «bandits» doivent aussi être condamnés à réaliser des tâches au profit de la collectivité.
D.D.

■ Quid des biens acquis?
Les biens acquis de façon illicite seront-ils saisis et vendus? Quant aux gains apportés par les ventes, seront-ils versés au trésor public?

B.S.

                                                                                 

Enseignement supérieur: Les profs sèchent les cours

Dans son dernier rapport annuel, la Cour des comptes s’est penchée sur le volume horaire effectué par les professeurs. Et le constat est étonnant! En effet, il s’avère que les enseignants ne couvrent pas leur enveloppe réglementaire. Mais, qu’il soit question d’un nombre réduit d’étudiants ou de temps consacré à la recherche, rien ne justifie un tel comportement d’après nos lecteurs… (cf. notre édition du 04/02 /2020)    

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■ De bonnes questions à se poser
Comment voulez-vous qu’un professeur couvre tout son volume horaire et trouve en plus de cela du temps à consacrer à la recherche? Et comment se fait-il que ce même enseignant trouve le temps d’intervenir au sein d’autres établissements ou de se lancer à son propre compte dans une activité de consulting?
U.I.

■ Instaurer un système de contrôle
Pour lutter contre ces anomalies qui touchent directement l’enseignement supérieur marocain, il faut rapidement instaurer un système de contrôle des heures de cours assurées par les professeurs du cycle supérieur.
J.K.

■ Un manque flagrant de conscience professionnelle
Ce constat est bien vrai. Beaucoup de jeunes qui embrassent la profession d’enseignant se découragent par manque de promotions et de reconnaissance de leurs efforts. Pourtant, ce n’est pas toujours avec l’argent que l’on règle les problèmes! C’est le manque de conscience professionnelle qui doit être pointé du doigt et qui est grandement néfaste à l’intégrité du statut.
R.D.

 

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